Translate

mardi 8 mai 2012

Les photons transportent l'information de la lumière


(en construction)




Si nous prenons comme prémices qu’au début de la création de l’Univers il y a eu la formation d’une première étoile. Celle-ci créa à l’intérieur de son cœur en réaction nucléaire sa propre énergie d’où résulta l’émission de lumière pour des millions sinon des milliards d’années. Elle propagea ses photons qui transportent l’information concernant son aspect physique tel que sa forme (ronde, sphérique), sa grosseur (son diamètre, son périmètre), sa couleur (jaune, orange, rouge, bleue) qui trahit sa température (chaude, froide), sa distance (par trigonométrie, les céphéïdes…),sa composition chimique (par spectrométrie), à travers l’espace interstellaire et intergalactique. La libération des photons lors de la réaction nucléaire se fait en ligne droite et voyage à la vitesse de 299 792 458.7 m/s droit devant eux jusqu’à ce qu’elle subisse la théorie de la relativité générale d’Einstein. Comme leur point d’origine est une sphère, les protons porteurs de l’information stellaire inondent l’espace complet perpendiculairement à chaque point de la surface de la sphère.

Q. Ces photons qui se dirigent vers une 2e étoile voisine seront-ils absorbés par elle? Et la visibilité de cette 2e étoile sera-t-elle possible uniquement par la perception des photons émergeant de cette 2e étoile provenant de son cœur? Quelle information retrouvera-t-on des photons provenant de cette 2e étoile? Si les photons de la 1ière étoile se dirigeaient vers une planète voisine à une distance et de dimension telle que la réflexion des photons sur sa masse fasse que nous puissions la percevoir de la Terre, est-ce à dire que c’est l’excès de chaleur de la 2e étoile qui fasse que les photons de la 1ière étoile soient absorbés par celle-ci? Et que dans le cas d’une planète tellurique ou gazeuse la relative faiblesse de la température de celle-ci fasse en sorte que les photons puissent être réfléchis sur sa surface, nous permettant par le fait même de les percevoir dans le ciel? Si c’est le cas pour les planètes, comment se fait-il que les photons réfléchis sur leur surface perdent l’information initiale relativement à leur étoile d’où ils proviennent particulièrement à ce qui à trait à la spectrométrie? Et comment se fait-il qu’ils ne transportent pas l’information de la composition chimique de l’atmosphère de la planète qu’ils réfléchissent (en supposant qu’il y en a une), contrairement à la situation lors d’un transit où les photons traversant l’atmosphère planétaire, ils seront porteurs de l’information?

Si on suppose qu’il y a éjection de photon à chaque réaction nucléaire et que ceux-ci se propagent en ligne droite, c’est donc dire que la quantité de photons par m2 diminuera d’autant que la surface sphérique autour du point d’origine augmentera en s’éloignant de sa source. Mais il semble bien que peut importe la distance astronomique à laquelle se trouve l’étoile, il y a encore assez de photons porteurs d’information qui nous parviennent en quantité et avec une énergie suffisante.

Je suis dans mon salon en train d’écrire sur la lumière. Il fait nuit. Je suis éclairé par une lampe de chevet qui me permet de voir les objets autour de moi. Lorsque je ferme la lumière, la noirceur envahit la pièce. Et je suis dans la noirceur totale. Je ne distingue plus rien, car la lumière réfléchissante sur les objets physiques qui m’entourent, n’est plus. Pourtant, lorsque je fais à nouveau de l’éclairage, tous les objets sont perceptibles à nouveau. La lumière électrique dans ce cas-ci projette la lumière vers l’avant et éblouit ma table de travail tandis qu’à l’arrière de la lampe de table se dessinent les objets dans la pénombre. Beaucoup de ces objets qui meublent mon quotidien sont placés de telle sorte qu’il est peu probable que les photons réfléchissants sur leur surface puissent logiquement parvenir à ma rétine pour en faire l’impression. Pourtant, chaque objet individuellement est bien dessiné avec clarté et précision.

Q. Comment expliquer que ces mêmes objets peuvent être discernés avec précision en constatant que les photons puissent difficilement rebondir vers la rétine de mon œil? Ainsi, dépendamment de l’angle que j’octroie à l’appareil photo déposé sur le bureau, je perds de vue sa surface recto. Les photons imprégnant son image sur ma rétine, étant déviés de leurs courses.

Ce qui conforterait plutôt que les photons ne se déplacent pas nécessairement perpendiculairement à la surface visée, mais bien dans tous les sens. À moins que ce ne soit plutôt comme une onde. Cela expliquerait pourquoi tous les gens dans la pièce peuvent percevoir l’objet en fonction de la position qu’il occupe dans la pièce.

Les photons qui nous parviennent de la première étoile se déplacent en quantas (paquets) et leur flux est tel que l’impression des photons sur notre rétine est constante.

Q. Lorsqu’il y a occultation d’une étoile par Jupiter à 21h heure à Drummondville au Québec, à quelle heure l’occultation débute-t-elle vraiment? Quelle heure est-il réellement à Drummondville lorsque l’étoile est cachée par Jupiter et le moment où nous ne voyons plus ladite étoile à notre poste d’observation sur Terre?

Si on considère que Jupiter se trouve à 628 000 000 km de la Terre, on calcule que sa lumière prend 35 minutes à nous parvenir. Si les éphémérides ont prévu l’occultation à 21h à Drummondville, on peut donc penser que Jupiter a déjà caché l’étoile à 20 :25. En effet, comme les quantas montrant l’approche de la planète vers l’étoile continuent de nous parvenir durant 35 minutes jusqu’à l’arrêt des photons de l’étoile occultée par la masse de Jupiter, l’image de l’occultation nous apparaît seulement que 35 minutes plus tard, soit 21 :00 lorsque le flux de lumière de l’étoile cesse suite à l’occultation complète de l’étoile par la planète. Si la durée de l’occultation est de 60 minutes, c’est donc dire que l’étoile ressortira de l’ombre de Jupiter à 21 :25. Les photons de l’étoile occultée seront à nouveau libres de circuler jusqu’à nous pour nous parvenir à 22h, heure de Drummondville. C’est donc dire que l’observation de l’occultation d’un satellite de Jupiter a les mêmes caractéristiques, en faisant abstraction dans ces deux cas de la théorie de la relativité générale qui pourrait avoir comme conséquence une déviation de la lumière de l’étoile par la masse planétaire.

Le grossissement des objets célestes est dû aux photons qui passent dans l’oculaire du télescope, celui-ci pouvant augmenter la quantité de photons par son miroir primaire ou améliorer la résolution de l’image en augmentant le grossissement des dits photons par la puissance de grossissement de l’oculaire. Il apparaît donc que pour qu’il y ait grossissement de la visualisation de l’objet il faut une quantité plus grande de photons par mètre carré de surface. À quelle fréquence les vagues successives de photons doivent-elles imprimer notre rétine pour nous permettre de visualiser dans la réalité qui nous entoure? On se rappelle tous les films du début des années 1900 où on voyait Charlie Chaplin évolué à l’écran dans un mouvement saccadé, stéréoscopique. Cela était dû au fait que le nombre d’image à la seconde était inférieur au nombre requis pour obtenir une image animée fluide. Cette séquence d’images étant établie à 24 images par seconde minimum. Ainsi, il est logique de penser qu’une fréquence à tout le moins similaire soit requise en ce qui à trait à la propagation de la lumière, celle-ci étant un minimum en soi.


François Langlois
________________________________________________________________________________________________________________


Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme.

Pouvons-nous faire un rapport avec l’énergie noire et le déplacement des photons? Ceux-ci se déplacent sur une distance de plus de 13 milliard d’al. Où prennent-ils l’énergie pour compléter ce déplacement?

François Langlois

1 commentaire:

Pierre Langlois a dit...

Tes prémisses me font tiquer... Je ne crois pas qu'il y ait eu un début à l'univers. L'univers (certains disent «les univers» - «multiverse», en anglais) est éternel : il n'a jamais eu de commencement et n'aura pas de fin. Bien entendu, la matière qui le compose ( cela inclus la lumière) est en constante évolution. La terre n'a pas toujours été habitable. Elle ne le sera pas toujours et les humains disparaîtront probablement comme, avant eux, les dinosaures. La terre elle-même et toute notre galaxie seront détruites. Mais l'univers (l'espace-temps) ne peut qu'être infini, en temps comme en espace. Donc, éternel. Il sera toujours composé de matières (plus ou moins vivantes et intelligentes) en constante évolution, sinon révolutions... L'univers étant infini, je ne serais pas étonné d'apprendre que le «big bang» est un phénomène «local» somme toute banal qui se reproduit sans cesse, chaque fois dans un endroit différent. Comme si l'univers souffrait de flatulences et avait besoin de péter avec la même constance que Tony...

Blague à part, je peux me tromper. Je n'affirme rien péremptoirement. Je suis simplement incapable de concevoir un univers limité dans son temps et son espace, avec un commencement (un seul et unique «big bang»?) pour le sortir du néant et une fin (une implosion?) pour l'y retourner.

Rien ne se perd, rien ne se crée, dis-tu comme bien d'autres avant toi. Si cela est vrai, l'idée d'un univers éternel est logique et vraisemblable. Si rien ne peut partir de rien, l'univers a forcément toujours existé puisqu'il existe. Et s'il n'a pas eu de commencement, il ne peut avoir de fin : où terminer une ligne qui n'a pas de point de départ?

Il y a plus fou que moi. Des mathématiciens, suite à de savants calculs, ont émis l'hypothèse qu'il existe probablement plusieurs terres dans l'univers (c'est eux qui emploient le terme «multiverse»). Chacune de ces terres est pareille à la nôtre, comme elle a déjà été, comme elle est ou comme elle sera... Sur chacune, il existe (ou il a existé, ou il existera) un Pierre Langlois en train de vivre ce que j'ai vécu dans le passé, ou ce que je vis maintenent (un autre Pierre Langlois en train d'écrire à son frère François, comme je le fais présentement), ou ce que je vivrai plus tard. T'sé veux dire!... Si leur hypothèse s'avérait, je suis déjà né et mort plusieurs fois. Je pourrais être toujours en vie quelque part, parfois même en plusieurs copies.

Je ne les obstine pas. Je ne serais pas étonné qu'ils aient mathématiquement raison. Mais je garde un doute raisonnable : je ne pense pas que l'univers se résume à une équation, si séduisante soit-elle. D'ailleurs elle n'est séduisante que pour les privilégiés. Imagine-t-on que toutes les horreurs qu'on voit sur terre ont déjà été vécues ailleurs par les mêmes victimes et qu'elles les revivront encore et encore, pour toujours et à jamais? Suporte-t-on l'idée qu'il existe d'autres Jean Charest qui font et refont les mêmes conneries?

Pour le reste, comme je n'ai pas bien compris, je ne peux guère t'obstiner!